Les puces électroniques sont invisibles pour la majorité d'entre nous. Pourtant leurs impacts ne sont pas anodins. Les semi-conducteurs d'un smartphone (microprocesseurs, mémoires) représentent jusqu'à 80% de l'empreinte carbone du produit alors qu'ils représentent moins de 1,0% du poids de l'appareil.

La base MicroÉlectronique a pour objectif d'aller plus loin que la base CODDE^® Electrique et Electronique en offrant un niveau de détails et de paramétrisation adaptés aux enjeux de la fabrication des puces électroniques. 

Les plus de la base CODDE^® MicroÉlectronique :

Chaque utilisateur perçoit sa consommation numérique comme marginale. Pourtant, l'effet cumulatif est vertigineux. En 2024, nous avons échangé collectivement plus de 149 zettaoctets (149 000 milliards de gigaoctets) de données. Et ce chiffre pourrait atteindre 394 zettaoctets d’ici 2028, notamment en raison de l'essor de l'IA. D’ici 2026, 75 % des entreprises utiliseront l’IA générative pour créer des données client synthétiques, alors que cette proportion était inférieure à 5 % en 2023.

Face à une appétence numérique en perpétuelle expansion, le LCIE Bureau Veritas se positionne comme un acteur clé de l'évaluation environnementale de ces infrastructures critiques (terminaux, objets connectés, centres de données et réseaux télécom). 

Les plus de la base CODDE^® Numérique :